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Galerie des femmes
Girls8
Girls8 présente le travail de huit jeunes femmes artistes : Victoire Avril, Johanna Benaïnous, Mathilde Denize, Joséphine Derobe, Sidonie Mangin, Marie Meneau, Hélène Paris, et Ji-Min Park. Une exposition à l’initiative de Chloé Bourgès, filleule d’Antoinette Fouque et jeune cinéaste.
Chloé Bourgès, filleule d’Antoinette Fouque et jeune cinéaste, présente Girls8, huit jeunes femmes artistes.
Victoire Avril, Photographe, La forêt Shirahama. Diplômée d’architecture et d’un Master 1 à la Waseda University à Tokyo, Victoire a préféré la photographie aux agences d’architectes. Elle travaille depuis 2011 pour le studio Atelier Mai 98.
Victoire Avril présente son travail.
Johanna Benaïnous, Photographe, Birds et Ovni. La photographe puise ses sources d’inspiration tant dans le milieu agricole que dans le langage animal. Elle s’intéresse aux éléments naturels, à leur poésie organique et à l’imagerie fantasmagorique qui peut découler de leurs mouvements.
Mathilde Denize, Sculpture et peinture. Ses sculptures résultent de combinaisons libres entre des matériaux bruts que l’artiste trouve et collecte.
Joséphine Derobe, Artiste 3D, réalisatrice, photographe. Souviens-Moi : fiction autour de l’enfance, du souvenir et de la résilience. Une ballade sensorielle autour du personnage principal, interprété par Clément Sibony. (15 min, images natives 3D relief, Son binaural (espace sonore en 3D au casque).
Joséphine Derobe, spécialiste 3D, travaille sur des projets français et internationaux.
Sidonie Mangin, Dessin, illustration, édition. Selfies et contes de faits. À travers ce nouveau support, la mise en scène du « moi » – et avec elle la construction d’un storytelling permanent – atteint son apogée
Marie Meneau, Photographe, Mesdemoiselles. Cette série de portraits a été réalisée en Ukraine pendant 7 mois. Dans leur authenticité et leur simplicité, ces femmes, témoins de la guerre, de la crise et de la précarité, nous proposent un regard différent sur l’Ukraine.
Hélène Paris, Artiste plasticienne, illustratrice. A l’écart du visible, Dessins à l’encre de chine, 2015. La toile se tisse de ces lignes claires où évoluent l’individu, perdu dans ce domaine vertigineux qui s’impose, de plus en plus, comme la matrice de notre époque.
Ji-Min Park, Artiste plasticienne. Ji-Min raconte des histoires autant qu’elle peint. Son travail, très intuitif, semble tout droit sorti d’un imaginaire coloré où se mêlent souvenirs, sensations et sentiments, fragments d’inconscient.