Actualités de l'Espace des femmes

Carte blanche aux Éditions des femmes-Antoinette Fouque
aux Rendez-vous de l’histoire de Blois, pour une table ronde
sur « L’impérialisme du phallus », inspirée de la pensée d’Antoinette Fouque et avec :
– Roger Dadoun, psychanalyste et philosophe,
– Francine Demichel, professeure émérite des universités,
– Jean-Joseph Goux, philosophe,
– Michèle Idels, co-directrice des éditions.
Conseil départemental de Blois, salle Lavoisier.

Plus d’informations sur le site des Rendez-vous de l’Histoire >

Quatre penseurs pour notre temps – et les femmes :
Antoinette Fouque, Sigmund Freud, Charles Péguy, Romain Rolland

Des femmes et des Dieux
Des penseuses libres, des militantes et des blasphématrices participeront à une discussion autour d’un sujet encore aujourd’hui tabou, la religion et les femmes. Pouvons-nous coexister ou devons-nous nous affronter ? Et comment ?
avec Zineb El Razouhi (Charlie Hebdo), Inna Shevchenko (Femen), Walled El Husseini (blogueur palestinien), Mariam Namazi (Ex-Muslim Concil) et Michèle Idels (AFD-MLF)
Samedi 29 août 2015 à 20 heures

Agir et désobéir
La résistance civile et le désir d’un autre monde est à la base de tous les grands progrès et de toutes les avancées. Nous discuterons de la force des manifestations directes et non violentes à travers différents modes d’actions, comme celles de Femen et de Greenpeace.
avec Ahmed Zaino (activiste syrien), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Lara Alkazar (Femen Espagne) et Elisabeth Nicoli (AFD-MLF)
Dimanche 30 août 2015 à 19 heures

L’entrée est gratuite et se fait sur inscription via le lien suivant

Exposition des photographies d’Irmeli Jung. “ Dans l’eau, j’oublie le temps qui passe, j’observe indéfiniment le mouvement perpétuel des vagues, il n’y en a pas deux pareilles. Photographier c’est aimer la vie ! ”  I. Jung

Solène Péréda et Charles Slingeneyer
joueront à quatre mains ou seuls :
●  La Fantaisie en fa mineur de Schubert
●  La Sonate Kv521 de Mozart
●  La Danse Macabre de St Saens
●  La Danse du Sabre de Katchatourian
●  Libertango de Piazzolla

L’Alliance des Femmes pour la Démocratie-MLF et le mouvement Femen, représentant ensemble deux générations de combattantes, sont résolument pour l’adoption de la proposition de loi sur la prostitution, par l’Assemblée nationale, le 12 juin 2015.

Un cri dans le bleu immergé

Un colloque à l’initiative de Mireille Calle-Gruber
Paroles-témoignages d’écrivains et d’universitaires
Avec aussi, pour les éditions des femmes-Antoinette Fouque,  Christine Villeneuve et Catherine Guyot
Lectures de Marie-Christine Barrault

L’hommage se poursuivra à 19h30
à l’Espace des femmes/Antoinette Fouque
35 rue Jacob, 75006 Paris
avec la projection du film de Pierre Samson
Assia Djebar ou l’écriture dévoilée
suivi d’un cocktail

Le Studio Théâtre Balthar présente
Lecture-spectacle musical
De Houle et de Feu
Autour des textes de Jeanine Baude et en sa présence
Conception et mise en espace, Ghislaine Dumont
Avec Caroline Pallarès, Julie Desmet, Gilles Blumenfeld
Musique, Nicolas Dri.  Lumière, Jérôme Chaffardon

« Jeanine Baude (…) poète entre mer, ciel et terre, mais où la terre est l’ancrage nécessaire à l’écrit. (…)  Venez vous asseoir près de nous pour écouter cette musique de chambre, yeux fermés, la tête et le corps à l’écoute. » Ghislaine Dumont

A l’occasion de la sortie en poche de Il y a deux sexes
d’Antoinette Fouque (Folio Gallimard)

Conférence – débat avec :
François Guery, professeur émérite de philosophie, auteur,
Catherine Perret, professeure en théorie et histoire des arts modernes et contemporains, auteure
Ursula del Aguila, doctorante à l’université de Paris 8

Aïda Kebadian, peintures
Avec des gouaches de sa mère, Chouchan
En commémoration des cent ans du génocide des Arméniens.

Vernissage le mercredi 29 avril à partir de 19 heures.
Avec la participation de Hermine Karagheuz, comédienne.

« La peinture d’Aïda est pure, libre toute simple, Hors Normes. Peinture figurative extraordinairement prenante, en perpétuel décalage toujours erratique. Elle montre des personnages immobiles, à la fois tristes et émerveillés. Présences silencieuses, obsédantes. Aïda est arménienne. »
Michel Nuridsany, Le Figaro